lundi 28 septembre 2015

Derrière la vitre


Aujourd'hui derrière la vitre, je vois les prés et leur douce montée de verts sur la colline . Une palette de nuance de vert, du plus tendre au plus foncé. Ce n'est jamais pareil, suivant la lumière, les ombres. Un tableau perpétuellement changeant que je ne me lasse pas de regarder. Un cadeau gratuit, infini. Les vaches ne sont pas là mais je sais qu'elles vont venir bientôt. On lève les yeux et elles sont là comme par enchantement, peut-être le peintre vient-il de les disposer sur le tableau. Petites touches de blanc de noir de roux de brun.

Les 366 réels à prise rapide sont des exercices de style tels qu'en propose le recueil éponyme de Raymond Queneau. Écrire sur le vif en 100 mots.

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